The
Freedom Night, la plus grande nuit libertine de France. C'était à
Marseille, aux Docks Des Suds, le Mardi 30 Avril 2013. Récit en 9
épisodes...
Episode 1 : une double vie qui s'installe, la pensée du libertinage qui devient plusconcrète.Episode 2 : Cinq mois, trois club, quelques rencontres, beaucoups d'envies, çaprogresse...
Episode 3 : Les« objectifs secrets » de cette soirée.
Episode 4 : On essaye encore les fameux sites de rencontre ?
Episode 5 : Lecompte à rebours commence :
Episode 6 : « La plus grande nuit libertine de France », c'est la sardine qui a bouché le Vieux Port...
Episode7 : Ça y est, on est dans la place. Visite des lieux.
Episode 8 : Que la fête commence !
Episode 9 : Coins coquins et hésitations... et conclusions
Episode 2 : Cinq mois, trois club, quelques rencontres, beaucoups d'envies, ça progresse...
Le libertinage ? Je peux dire que nous y étions venu naturellement.
Pas, comme on entend parfois, « pour pimenter notre couple »,
dans lequel l'ennui ou le manque d'imagination n'étaient pas
présents, mais plus comme une nouvelle expérience à vivre, et
l'envie de s'amuser. L'idée était pour nous une évidence. Sa
réalisation, bien sûr, ne l'était pas autant.
Beaucoup de personnes disent en club « c'est Madame qui
choisit ». Il se trouve que c'était notre fonctionnement dès
le départ. Ce qui intéresse Hombre, c'est de découvrir mes
fantasmes, m'aider à les réaliser, voir jusqu'où je peux aller,
jusqu'où je peux aller avec lui. De fait, il me dit peut de choses.
Mais il me sent. Il sent ce dont j'ai envie mais je n'y vais pas car
n'ose pas, ou si j'hésite parce que j'ai moyennement envie. Il sait
donc me freiner quand il le faut (« je crois qu'on doit rentrer
là, non ? ») et me pousser quand je n'y arrive pas (« non,
on ne va pas faire demi-tour avant d'être rentré dans le club après
le temps que tu as mis à te préparer, sinon tu vas être déçue et
moi aussi. On entre, et on verra bien. »)
Le problème aussi c'est que je suis à la fois extrêmement sociable
et loquace, et extrêmement timide, dotée d'un trac maladif, qui
m'excite à petite dose, mais m'handicape quand il est trop présent.
Aujourd'hui encore, je m'interroge quant à notre avenir dans ce
domaine : et si, dans 10 ans, nous étions toujours aussi maladroits
? Aussi incapables d'aborder un couple ou de se laisser séduire ?
Cette situation actuellement excitante, amusante, déconcertante, ne
finira-t-elle pas par devenir frustrante ?
Nous avions donc décidé de franchir le cap en Décembre 2012, en en
cette belle journée printanière d'Avril 2013, nous ne nous étions
toujours pas mélangés avec d'autres couples, alors que c'est cette
envie qui avait guidé notre démarche.
Cela ne veut pas dire que nous n'avions pas évolué, bien au
contraire. Mais à pas de fourmis, comme on dit dans les cours de
récré. J'aimais me fixer quelques petits objectifs, pour me
rassurer, m'amuser, me donner l'impression de contrôler un peu. Ça
faisait beaucoup rire Hombre qui me disais toujours « on verra
bien ». Il se trouve que pour l'instant, nous avions atteints à
chaque fois ces petits défits lancés à nous même. Néanmoins,
nous progressions plutôt lentement par rapport à l'image de la
grande libertine délurée et décomplexée que je me rêvais d'être.capable de dire lequel avait impulsé l'autre, mais il y avait
un lien évident entre les deux.
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POUR AVOIR LE TEXTE ENTIER, CE SERA DANS LE LIVRE " CHRONIQUES LIBERTINES", PARUTION DERNIER TRIMESTRE 2018 AUX EDITIONS FILOSPHERES....
http://filosphere.free.fr/2/crbst_21.html
BISES.
PANDEMOS.
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POUR AVOIR LE TEXTE ENTIER, CE SERA DANS LE LIVRE " CHRONIQUES LIBERTINES", PARUTION DERNIER TRIMESTRE 2018 AUX EDITIONS FILOSPHERES....
http://filosphere.free.fr/2/crbst_21.html
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