The
Freedom Night, la plus grande nuit libertine de France. C'était à
Marseille, aux Docks Des Suds, le Mardi 30 Avril 2013. Récit en 9
épisodes...
Episode 1 : une double vie qui s'installe, la pensée du libertinage qui devient plusconcrète.Episode 2 : Cinq mois, trois club, quelques rencontres, beaucoups d'envies, çaprogresse...
Episode 3 : Les« objectifs secrets » de cette soirée.
Episode 4 : On essaye encore les fameux sites de rencontre ?
Episode 5 : Lecompte à rebours commence :
Episode 6 : « La plus grande nuit libertine de France », c'est la sardine qui a bouché le Vieux Port...
Episode7 : Ça y est, on est dans la place. Visite des lieux.
Episode 8 : Que la fête commence !
Episode 9 : Coins coquins et hésitations... et conclusions
Episode 4 : On essaye encore les fameux sites de rencontre ?
Assez vite, nous nous sommes faits à l'idée que nous irions seuls à
la Freedom Night..
Mais cela n'empêchait pas notre envie de rencontrer des couples,
c'est pourquoi nous avions quand même sélectionné trois sites de
rencontres sur lesquels nous inscrire.
Afin de privilégier la qualité à la quantité, nous avions étés
assez précis dans notre annonce : la taille d'un membre, la couleur
d'une peau ou l'importance de la pilosité nous étaient égal. Nous
souhaitions rencontrer des personnes avec de l'humour et un brin de
sofistication dans leur présentation. De fait, nous ne regardions
même pas les textes écrits en langage SMS où remplis de phrases
stéréotypées. Idem pour les photos quand elles ne montrent que des
parties génitales en gros plan, ou quand elles sont moches, mal
cadrées, publiées à l'envers, avec l'assiette pleine de ketchup en
second plan...
De la même façon, nous avions soigné le texte de notre fiche,
et nous avions mis de l'argent de côté pour faire quelques photos
sexy.
L'une de mes collègues de travail m'avait parlé de cette jeune
photographe qui se lançait depuis peu. J'avais vu l'une de ses
séries sur des pin-up dont l'esprit me plaisait bien. Quand je
l'avais rencontrée, elle m'avait semblé suffisamment ouverte, je
n'étais pas entrée dans les détails, je lui avais dit que nous
voulions faire « quelques photos sexy » pour le plaisir.
Nous comptions lui en dire plus le jour où elle viendrait pour la
prise de vue.
Ce soir là, les enfants étaient couchés, la porte due séparation
fermée à clés, et nous avions tendu un grand rideau rouge dans le
salon. J'avais sorti notre mallette à accessoires et préparé 2-3
tenues. Hombre était passé chez le caviste chercher une bonne
bouteille. J'avais aussi un affreux peignoir de bain en éponge que
je pouvais passer vite-fait sur n'importe quelle tenue si un petit se
réveillait et que je devait me rendre de l'autre côté de
l'appartement.
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POUR AVOIR LE TEXTE ENTIER, CE SERA DANS LE LIVRE " CHRONIQUES LIBERTINES", PARUTION DERNIER TRIMESTRE 2018 AUX EDITIONS FILOSPHERES....
http://filosphere.free.fr/2/crbst_21.html
BISES.
PANDEMOS.
Le manque de réponse vient plus de l'absence de photos à mon avis! mais j'imagine que le problème doit être résolu depuis cet écrit...
RépondreSupprimerSuperbe description de cette soirée que nous avons vécu aussi un peu comme ça ; a part l'homme !
RépondreSupprimer:)